24 janvier 2014

Les Doors à la Laiterie ! Inédit. Ne manquez pas cette occasion exceptionnelle, inespérée, on peut le dire unique, d’assister à la performance de l’un des groupes les plus mythiques de l’histoire du Rock : « Mr Mojo Risin » au micro !

Aussi psychédélique que leur musique, cette situation aurait pu se produire. Qui sait ? Si Jim Morrison n’avait pas trépassé dans sa baignoire il y a maintenant trente-trois ans, si Ray Manzarek, ce claviériste au son si caractéristique, ne l’avait pas rejoint il y a quelques mois.

On aurait retrouvé des papys, qui, à l’image d’un Iggy Pop, ou Mick Jagger et Keith Richards, tentent encore d’enflammer les salles, comme au bon vieux temps. Ou peut-être auraient-ils remplis des zéniths à l’instar des cinq larrons d’AC/DC ou de leurs germains cousins de l’outre-rhin les Scorpions. Peu importe, ils n’auraient certainement pas suivi les rescapés de Ten Years After dans les méandres des routes alsaciennes pour se donner de tout cœur devant le chouette public du fameux festival O’Zone de Mietesheim.

Car les Doors, c’est une légende, un mythe qui inspire. Venus du royaume du rock - ne le dites surtout pas à Elisabeth, Sid Vicious hante ses souvenirs – quatre grands-bretons s’établissent devant vous en véritables chantres d’un mouvement révolu, d’une époque qui n’est plus, ressuscitant par leur talent ces grands absents de Woodstock. Alors si Doug Cameron - « assistant road manager » du groupe pendant le fameux « summer of love » - les taxe de « best Doors tribute band he’s never seen », on peut lui faire confiance.

Nostalgiques de ces temps magiques, offrez vous une piqûre de rappel :

-The Doors alive à la Laiterie le 4 février, Strasbourg.

-Amis du Nord, sachez qu’ils entament leur française tournée au Splendid à Lille le 31 janvier. 

-Lyonnais vous n’êtes pas en reste, le Transbordeur les accueille le 3 février. 

-Parisiens (toujours mieux servis), offrez vous un moment détente à l’Olympia le 1^er février. Une affiche exceptionnelle : Nirvana en première partie des Doors. 

Adrien PONSARD

13 janvier 2014

        Quelques jours après la publication de l’article « Vertige Technique » ressuscitant les années fastes du groupe britannique New Order - surfant alors sur la vague froide (cold wave) d’un électro-rock naissant -, Le Mot Passant vous conseille de faire un tour à la Laiterie le vendredi 21 février : Peter Hook, membre fondateur et bassiste, s’y produira. Huit ans après s’être séparé de la bande qui évolue toujours, il interprètera les deux premiers albums de New Order sous le nom de « Peter Hook and the Light ». Programmé en première partie, « Slaves of Venus » n’est autre qu’un voile permettant à ce nostalgique du punk de se replonger dans les années Joy Division trop tôt stoppées par le suicide de son chanteur Ian Curtis.

Site de la laiterie: horaires, billetterie, informations supplémentaires

Site officiel de Peter Hook

Transmission, Joy Division

Blue Monday, New Order

Love will tear us apart, Joy Division

Adrien Ponsard